Souvent nommés à tort ''hologrammes'', les dioramas théâtres optiques, où vidéo et objets réels interagissent, sont nés de l'imagination de magiciens qui les ont développés au XIXe. En exposition, les séries photographiques ''Homo animalis'' sont souvent accompagnées de ces objets audiovisuels dans lesquels la vie semble présente.
J'ai aussi réalisé des théâtres optiques à échelle humaine, comme pour ''Pluriel'', installation dans une cellule de l'ancien asile psychiatrique ''Etoc Demazy'' au Mans. Ici, le visage finissait par disparaître pour laisser voir l'intérieur de la pièce.